Délices italiens au Portofino

Bonne Année!!! Après un  long congé du temps des fêtes, je vous reviens, plus affamée que jamais, coeur et bouche remplis de mots doux. N’ayant pas abusé des repas de Noël, j’en ai profité pour dilapider ou presque l’argent donné en cadeau dans une table d’hôte presque parfaite au Portofino! Ce restaurent italien, situé dans le secteur Sainte-Foy (dans mon cas) et Vieux-Québec de la ville de Québec, a su me charmer et même m’enchanter.

Selon ce que vous désirez, celui de Sainte-Foy offre une ambiance de style lounge, plus branchée, parfait pour prendre un verre entre amis après une longue journée. Du côté du Vieux-Québec, le restaurent offre plutôt une vision plus vintage, l’Italie telle qu’on la connait, plus conventionnelle. Le service est impeccable, parfois même un peu trop attentionné. Côté bouffe? Un vrai succès pour tout le monde! J’ai pris donc une table d’hôte composée d’une salade de roquette et fromage de chèvre, soupe minestrone, tortellini à la viande gratiné (demandez-le pour un petit supplément), gâteau au chocolat avec une ganache chocolaté en dessous. De leurs côtés, mes amis ce sont délecté d’un spaghetti gratiné et d’un pavé de saumon (enfin de la grosseur de ce que vous payez!) accompagné de riz.

J’ai adoré presque tous les services. Bon, pour la soupe rien de bien impressionnant et je ne suis pas vraiment fan de chocolat (ne faites pas de crise cardiaques, car oui, cela existe!), donc je ne jugerais pas si c’était bon ou non. Juste beaucoup trop chocolaté pour moi, donc dans ces cas là, je ne peux juste pas prendre plus de trois bouchées. Pour ma défense, c’était inclus et au hasard, je ne pouvais pas choisir à moins de payer un supplément. Le tout pour raisonnablement 37,95$ sans le pourboire! Je vous conseille à tous les tables d’hôte car le prix à la carte de chaque éléments est quand même élevé. Petit hic au niveau du riz qui accompagnait le saumon: pour ceux que ça intéresse, ils utilisent le même riz que celui pour le risotto et même si le mélange est agréable de vue, le goût était extrêmement salé!

Somme toute, une anniversaire, une soirée entre amis, un événement spécial? Courez au Portofino! Dans mon cas, je trouverais certainement une excuse pour y retourner. Pour ceux qui s’inquiètent au sujet du prix, ils font régulièrement de nombreuses promotions: en ce moment, à l’achat de 2 tables d’hôtes, obtenez 25$ de rabais!

 Pour plus d’infos c’est ici !

 Je vous souhaite une année pleine de délices!

RM Extensions: Ne vous ruinez plus pour des extensions de bonne qualité!

Vous ne le savez sans doute pas, mais je ne suis pas de type girly-girly, donc je prend rarement le temps pour faire des articles concernant toutes les tendances beautés. Cependant, je crois honnêtement que le temps que je prend aujourd’hui pour parler des extensions brésiliennes de chez RM Extensions vous permettra d’avoir une nouvelle perspective de ce que vous pouvez faire de vos cheveux. Il font d’ailleurs une promotion, les extensions à partir de 55 $ (38 euros) pour Noël, donc profitez-en avant la rentrée!

RM Extensions est une petite entreprise de la ville de Québec qui vend des extensions brésilienne depuis presque un an maintenant. L’entreprise a vécu plusieurs dû à son changement de fournisseur pour une meilleure qualité d’extension. En effet, certaine filles, dont moi-même ont eu l’expérience de cette première qualité d’extensions qui nécessitait des soins précis et quotidien. La durée de ceux-ci a été d’environs 3 à 6 mois (j’entretiens très  religieusement mes extensions). Toutefois, l’entrepreneur qui s’en occupe a effectivement corrigé le tir en revenant avec une qualité réellement « virgin », dont je n’ai presque rien à redire (je les ai depuis 3 mois). Les extensions ne se mêle pas, ils ne devient pas non plus sec après shampoing et sont très agréable au toucher. Sur ces photos, j’ai du 14”, 20” et 22″, couleur 1B mais je les ai teint depuis en plus foncé! Il y a un peu de perte de cheveux (sheding) lorsqu’on les brosse, mais rien de catastrophique (j’ai connu pire…). Côté qualité prix, c’est donc excellent : de 60$ à 99$ (42 euro à 70 euro) et les longueurs vont jusqu’au 28 pouces.

Leur site internet n’est pas encore fini, mais le gérant peut faire des ventes en ligne via Facebook (par virement interac ou paypal), mais les frais de livraison canadiens sont assez élevés ( 20$ ou 14 euro).

Pour plus d’info c’est ici

Voici ainsi des photos de moi-même et d’un petit truc beauté pour garder la shape de vos extensions, les hydrater si besoin et les protéger contre le froid !

N’hésitez pas à partager vos expériences, vos coups de coeur et vos petits trucs avec moi!

Rebelle, ces films canadiens qui nous touchent

Bien d’entre vous n’ont peut-être pas entendu parlé du film canadien-québécois Rebelle, réalisé par Kim Nguyen, à moins que vous ne l’aviez brièvement vu dans les  nominés (meilleur film de langue étrangère) de la 85e cérémonie des Oscars. Vous l’aurez sans doute deviné par le titre- bien que celui en anglais (War witch) est beaucoup plus significatif par rapport à l’histoire, que le film traite d’une jeune fille, Komona, forcée à devenir enfant-soldat en République Démocratique du Congo. Son enfance prend ainsi fin, tandis qu’elle apprend les rudiments du métier. Après avoir évité des coups de feu lors d’un échange de tirs, le groupe rebelle la nomme alors  sorcière et des conséquences s’en suivent. Rebelle, c’est aussi l’histoire d’amour entre Komona et son confrère enfant-soldat, Magicien. Tout deux s’enfuirent alors pour une vie meilleure et vivre l’un pour l’autre. Or, la vie elle-même avait d’autres plans pour ces enfants.

Rebelle est une histoire émouvante. On jurerait regarder un documentaire tellement c’est réaliste. Beau, triste, rustique et honnête, ce film décrit la triste réalité, mais d’une manière très simpliste, sans artifice.

Je prends donc la peine d’écrire sur Rebelle, d’écrire pour Rebelle, car il mérite définitivement d’être vu par tous!

Quand la réputation du Savini dit vrai

20 ans, ça se fête quand même! Et pour ce faire, j’ai choisi le non moins renommé restaurent italien, le Savini,  pour une des activités de la  vie que j’apprécie le plus : bien manger. J’ai été gâtée sur ce point. Le portefeuille d’une personne en a  pris un coup par contre. Mais au final, ça valait le détour, la difficulté de se stationner et la brise frisquette qui annonce le début de l’hiver, du haut de mes  sandales à talons  haut. 

Comme vous pourrez l’observer, je n’ai pas pris 8 plats à moi seule. Mes invités ont fait leur part. Donc, au menu à notre table: 

• Bruschetta al pomodoro
• Calamars frits
• Saumon fumé
• Risoto aux champignons et foi gras
• Pizza Savini
• Fettucine alla boscaiola (Fettucine aux champignons, échalotes, pancetta et vin blanc)
• Veau Parmigiana
• Veau en croûte
• Profiteroles
• Saumon grillé

La plupart des convives étaient satisfait de leur assiette. Le plat de calamar n’est pas aussi imposant que son prix même s’il était bon au goût; Le veau était le meilleur que j’ai jamais goûté et l’assiette ne s’engloutissait au complet que si vous n’aviez pas pris d’entrée; le saumon en entrée ne vaut vraiment pas la peine et celui en plat principale équivaut à ceux des autres restaurants; le risotto n’a pas convaincu mon ami qui en mangeait pour la première, même si la touche de foi gras était délectable; la pizza était superbe; mon veau était excellent; les profiteroles étaient absolument succulents. Puisque mon repas était offert, cela à coûté pour deux ( pizza, dessert, veau, calamars et mojito aux framboises)  106 $, si mes souvenirs sont bons, sans le pourboire. 

Le Savini est un resto-bar, un lounge, qui sait se vendre. Pour mon événement, j’ai réservé gratuitement un salon privé, donc nous n’avons pas pu assister au numéro de l’acrobate à l’intérieur du restaurant. Le service est absolument impeccable (Idéale pour les hommes et les femmes qui veulent se rincer l’œil en boni).

Pour ma part, c’est une adresse que je  recommande chaudement, comme quoi, parfois les rumeurs disent vraies!

Avec son chef célèbre et son ambiance électrisante, c’est avec plaisir que je donne 9/10 au Savini!

Pour plus d’infos: ici

À très bientôt, je l’espère! Et n’hésitez pas à me recommander de nouveaux restaurants à essayer!

L’Atelier Tartare & coktails, ne passez plus à côté!

Me revoilà avec une nouvelle chronique gourmet. Je m’absente, je le sais bien. Toutefois, la vie et la routine nous rattrape si vite que c’est presque impossible d’écrire pour le plaisir, hors du cadre professionnel. Quoi qu’il en soit, il y a de cela près de deux mois maintenant, je suis partie faire un petit tour à L‘Atelier sur la Grande-Allée à Québec. Vous devinerez par ce titre que j’ai été véritablement charmée par l’ambiance, le décors et le plus important, par la nourriture!

Pour commencer par l’aspect culinaire, je débuterais en vous annonçant avec joie, que vous ne serez pas déçu. J’ai commandé en entrée des accras de morue au paprika, une entrecôte grillée à l’échalote et l’estragon en plat principale, accompagné d’un fashionnista, cocktail à la base d’un mousseux et de purée de framboise (un vrai délice). Le tout pour environs 40 $ mais attention, je n’ai pas payé mon fabuleux cocktail (14 $). Les accras de morues étaient une première pour et je n’ai pas regretté mon risque. Concernant ma pièce de bœuf, côté qualité-prix, il n’y a absolument rien à dire. J’aimerais trouver un défaut, mais là tout de suite, rien ne me vient. Mais quand même, pour ceux qui aime autre chose que les burgers, des salades « fency » ou des pièces de viandes (tartare ou entière), vous serez un peu limité côté choix.

L’Atelier est un endroit adressé à une clientèle « jeune » ( 50 ans et moins ) et convient autant pour un dîner en tête à tête que pour une virée entre amis. C’est un bistro qui a plus des allures de lounge. Côté budget, c’est une coche au dessus de la moyenne, selon moi. Je ne peux cependant pas vous dire si c’est avec raison ou non, ce sera à vous d’en juger!

Alors ne perdez plus de temps et ne passez plus à côté, avant vos débuts de soirées déjantées,  à proximité de vos bars préférés!

Pour plus d’infos: ici

Caliente à la Casa Mexicana

Me revoilà très heureuse de composer cette petite critique positive (je gâche le punch, eh oui…) sur un tout petit restaurant mexicain de la ville de Québec, très chaleureux : la Casa Mexicana. Idéal si vous voulez retrouver une ambiance festive grâce au chanteur latino qui saura vous agréer des meilleurs tubes en espagnole. De plus, si vous êtes chanceux, le propriétaire ( pas laid du tout, pour vous mesdames) vous fera littéralement boire un shooter de Tequila dans sa tournée! 

Pour ma part, j’ai commandé une Cesta fiesta ( assortiment de différent tacos et roulés de jambon au guacamole) en entrée, un daiquiri aux fraises et des enchiladas verdes au poulet en plat principale, le tout pour environs 33$ taxe incl. sans le pourboire. L’entrée était correcte, elle manquait un peu d’assaisonnement. Si vous voulez les enchiladas moins épicés, comme moi, précisez-le à votre serveur ou serveuse. Pour ma part, j’ai été très satisfaite de mon plat. Je ne sais pas si c’était dû à l’ambiance, au fait que je n’en avais jamais mangé avant ou tout simplement à ma faim, mais les saveurs m’ont transporté. Je dois tout de même vous dire que les plats n’ont pas fait l’unanimité: certains ont adoré, d’autres ont déjà vu mieux. 

Enfin, je donnerai une note final de 7,5/10. Si je peux me permettre de le comparer au Tres Amigos, je crois que niveau goût, le restaurant mexicain Montréalais le surpasse de loin simplement à cause de ses saveurs. Mais côté ambiance, il n’y a rien à dire! C’est un 10/10. 

Pour plus d’infos : ici

Voici quelques photos pour vous donner l’eau à la bouche: 

À très bientôt mi codiciosos! 

Spring Breakers, Cloud Atlas: 2x sans mots, 2 raisons opposées

Je vous salue, de retour après un petit week-end à New York, très mouvementé. Sur le chemin du retour, qui était d’ailleurs plutôt long, j’en ai profité pour regarder deux films, dont j’ai retardé le visionnement depuis un moment déjà dû au fait qu’ils me laissaient perplexe. Ainsi, j’ai commencé Spring breakers pour l’arrêter après 20 minutes, afin d’entamer Cloud Atlas (Cartographie des nuages en VF).

Pour commencer avec le négatif, Spring Breakers je vous avouerai que je ne passerais pas en revue tout ce qui ne fonctionnait pas dans ce film. Le synopsis vite fait: quatre jeunes filles s’ennuient dans leur banlieue, sachant que tous les autres jeunes s’amusent au Spring Break (vacance de la relâche). Ne pouvant plus se résoudre à vivre dans cette affreuse routine ( pauvres enfants !), elles décident de braquer un restaurant et de s’envoler pour la Floride, où elles vivront une vie de folie bourrée de sexe, d’alcool de drogue et de déchéance. De ce fait, l’erreur majeure, selon moi, est le scénario vide, froid et sans intérêt. Les acteurs (James Franco, Vanessa Hudgens, Selena Gomez, Ashley Benson, Rachel Korine) ont bien fait leur travail. On y croirait presque si le déroulement de l’histoire n’était pas aussi boiteux. Après 10 minutes, j’ai d’abord cru que c’était une blague puis, comme cité auparavant, j’ai arrêté le film. À la 61 ème minutes, sachant que le film finirait dans pas très longtemps, j’ai commencé à chercher la « leçon » ou le but du film. Finalement, je suis restée bouche bée. Est-ce le film qui était trop profond pour que je le comprenne? Le réalisateur a-t-il voulu montrer la facette naïve et stupide des jeunes? Ces questions n’auront sans doute jamais de réponse, mais une chose est certaine: si vous entendez dans 5 ans que quelques jeunes filles ont commis des meurtres dans leur quête inassouvie du bonheur, grâce à une semaine à la plage qu’elles rêvaient qu’elle dure toute une vie, vous saurez d’où leur idée  a germé!

 

Dans une note, plus positive, je vous ferais découvrir peut-être Cloud Atlas, un film surprenant, basée sur le roman du même nom, qui joint plusieurs univers, où les personnages sont interreliés à travers l’espace-temps. Ce dont j’ai le plus aimé du film est la facilité de compréhension des histoires et les liens qu’elles ont entre elles. La transformation des personnages (Halle Berry, Tom Hanks, Jim Broadbent, Hugo Weaving, Jim Sturgess, Doona Bae, Ben Whishaw, James D’Arcy, Zhou Xun, Keith David, Susan Sarandon et Hugh Grant) est aussi magnifiquement déroutante. Tenter de tous les reconnaître selon les différentes époques est presque mission impossible. Certains sont reconnaissables, d’autres pas du tout. D’après moi, ce film n’a pas eu du tout le succès qu’il mérite! Alors si vous avez temps, arrêter vous un moment et laisser vous transporter.

 

En gros, si vous avez 1 h 30 à tuer et que vous voulez voir des tas de paires de seins, de la cocaïne et l’alcool à flot, Spring Breakers vous ravira. Or, si vous cherchez une histoire qui vous transcendera réellement, Cloud Atlas s’en chargera!

 

Je vous reviens très bientôt!

 

Vivez l’expérience du Caribana!

De retour de voyage du le Caribana à Toronto avec les copines, tout ce que j’ai à dire est « À l’année prochaine ! ». J’ai absolument adoré l’expérience. Non seulement le défilé était flamboyant et divertissant, mais les évènements nightlife ne m’ont pas du tout déçu. Nous avons réservé un package de trois jours (Vendredi au dimanche) étions logés au Sheraton Hotel, en plein centre-ville. Cet hôtel est luxueux, mais comporte moins de service, dont l’accès à l’internet payant dans les chambres. 

Le Caribana attire de nombreuses célébrités qui viennent performer dans les clubs, que ce soit des dj ou des chanteurs connus. Ce festival carribéen dure généralement du jeudi au lundi. Mais faites attentions, LA journée la plus importante au niveau des évènements est le dimanche, que nous avons malheureusement manqué. Un package de trois jours avec 2 évènements nightlife était de 175 $ quand vous vous y prenez tôt (avant juin). De plus, vous devez réserver sur le site officiel du Caribana ou tenter de vous organiser seul, mais sincèrement, cela ne vaut pas la peine de se casser la tête pour cette fois.

Pour vous agrémenter les yeux, voici quelques photos, en espérant vous voir l’année prochaine!!!

Café de Paris: Miam…Mon assiette est déjà finie!?

De retour après un très long moment déjà, me voilà. Je vous explique quand même ma longue absence: après avoir travaillé à temps plein pendant un mois et demi, je me retrouve maintenant en vacance jusqu’à la rentrée, mais pas très riche à cause de mes voyages. Ceci étant dit, je vous invite à lire cette petite critique sur le Café de Paris, restaurant français ( vous l’aurez deviné), situé dans le Vieux-Québec.

 

Je dois d’abord vous dire que je n’aime pas les stéréotypes, en fait, je les déteste. Or, je n’en suis pas à l’abri alors, si vous êtes français, venez, à mon grand plaisir, me rassurez. Donc, le Café de Paris côté ambiance parisienne, a mis le paquet: petit monsieur au gilet rayé noir et blanc, qui joue du Jacques Brel à l’accordéon, tableau de Mona Lisa et de paysage des banlieues de Paris, et la liste est encore longue. C’était bien, mais un peu vieillot, comme la clientèle.

 

Le service était moyen. Je les pardonne à cause du fait que c’était un samedi soir, mais tout de même… Une table à côté de la nôtre a patienté autant que nous pour leur facture et est arrivée avant nous. Cela dit tout. Niveau qualité des plats, nous avons pris deux tables d’hôte composées d’un feuilleté aux champignon et rillettes aux 5 gibiers , un gratin de fruit de mer et liguinni aux crevettes, shortcake et gâteau au fromage comme dessert. Présenté de cette façon, cela donne l’air d’un menu copieux. Détrompez-vous, quoi que très bon et savoureux, ma table d’hôte à 40$ ne m’a pas empêché d’engloutir une part de pizza une heure plus tard. Les gens qui choisissaient leur spécialité, le filet mignon servi et découpé à table, semblaient satisfaits, mais ne sursautez pas à la vue du prix.

 

Je donnerais une note de 6,5/10 à ce restaurant. J’adore manger et malheureusement, je n’aime pas vraiment qu’on me laisse sur ma faim et qu’il y ait un trou d’une heure entre mon entrée et mon plat principal. Surtout lorsque je m’aperçois que l’économie d’argent faite sur le manque de personnel ne se retrouve pas dans mon assiette!

Allez tout de même essayer leur filet mignon et parlez-en!

 Pour plus d’info, c’est ici. 

D’ici là, à la prochaine pour de nouvelles saveurs et découvertes!

Le Trône de fer: Qui sera le prochain à mourrir?

Comment ne pas parler de la série culte et ouvrage de George R.R. Martin? Impossible. Certe pour ceux qui ne connaisse pas l’histoire de cet incroyable jeu de pouvoir entre le royaume des Sept Couronnes, les Lions, les Cerfs, les Loups ou encore, les Roses épineuses, je vous inviterais à lire le synopsis wikipédien suivant (sinon sautez à la suite de l’article) : 

« Sur le continent de Westeros, le roi Robert Baratheon règne sur le Royaume des Sept Couronnes depuis qu’il a mené à la victoire la rébellion contre le roi fou Aerys II Targaryen, dix-sept ans auparavant. Son guide et principal conseiller, Jon Arryn, venant de décéder, il part dans le nord du royaume demander à son vieil ami Eddard Stark, seigneur suzerain du Nord et de la Maison Stark, de remplacer leur regretté mentor au poste de « main du Roi ». Eddard, peu désireux de quitter ses terres, accepte à contrecœur de partir à la Cour avec ses deux filles, alors que Jon Snow, son fils illégitime, se prépare à intégrer la fameuse Garde de Nuit. Mais, juste avant le départ pour le Sud, Bran, un des jeunes fils d’Eddard, fait une découverte en escaladant une tour de Winterfell dont découleront des conséquences inattendues… Dans le même temps, sur le continent Est, Viserys Targaryen, héritier « légitime » en exil des Sept Couronnes et fils d’Aerys, projette de marier sa jeune sœur Daenerys à Drogo, le chef d’une puissante horde de cavaliers nomades, afin de s’en faire des alliés en vue de la reconquête du royaume. Mais Viserys est presque aussi instable mentalement que son père. »

J’ai commencé par la série et je poursuis maintenant avec les livres que je dévore délectablement. Je m’arrête alors ici pour poser une certaine problématique. En effet, dans ce genre de récit héroïque, et dans bien d’autres types d’oeuvre, la tendance générale et de s’attacher aux personnages au fil et en aiguille de l’histoire. Or, il semble que Mr. Martins ait l’obligation (j’imagine) de tuer certains personnages clés (je ne les nomerais pas), ceux qu’on aime autant que ceux que l’on hait. La question est maintenant si la mort de ces personnages peut affecter notre fidélité au récit? 

Pour ma part, je ne souhaite tout simplement pas vivre un deuil de trop. Par contre, une accro a besoin de sa dose… Je me rendrais jusqu’au bout même si la gamme d’émotion par laquelle je passerai sera à son paroxysme!

L’Hiver vient, Winter is comming!

À très bientôt!